Les données collectées à l’issue des ramassages sont centralisées sur des outils de sciences participatives. Puis, elles sont partagées avec les territoires, accompagnées de recommandations. En collaboration avec le CNRS, des scientifiques étudient entre 2024 et 2026 un échantillon des déchets collectés, ainsi que les sols sur lesquels ils sont ramassés, avec pour objectif de mieux comprendre d'où proviennent les déchets que l'on retrouve dans la nature pour ensuite mieux lutter contre la source de pollution.